“Female genital mutilation is the ritual of cutting, piercing or removing the clitoris, and/or the sewing closed of the external genitals of women. There are no medical or health benefits. That’s why I’ve declared today as International Day of Zero Tolerance for Female Genital Mutilation.

“Our government is committed to preventing and addressing violence against women and girls in all its forms. Female genital mutilation is recognized internationally as a violation of human rights and can lead to long-term health complications for women and girls.

“We must work together with communities, educators and health providers to develop a deeper understanding of how to work cooperatively to end female genital mutilation and support survivors.

“By recognizing International Day of Zero Tolerance for Female Genital Mutilation, we are able to have honest discussions about this debilitating practice that happens right here in Canada. We must all take a stand against cutting our beautifully perfect girls.”

Onyinye Chukwunyerenwa, a Calgary-based advocate for the prevention of child sexual abuse, added her perspective:

“Female genital mutilation is child sexual abuse and it has continued because we are silent. Let us therefore break the culture of silence.”


Madame Leela Sharon Aheer, ministre de la Culture, du Multiculturalisme et de la Condition féminine a fait la déclaration suivante au sujet de la Journée internationale de tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines :

« La mutilation génitale féminine est un rituel qui consiste en l’excision, le perçage ou l'ablation du clitoris, ou encore la suture des organes génitaux externes de la femme. Cette pratique n’offre aucun avantage d’un point de vue médical ou sanitaire. C'est pourquoi je déclare aujourd’hui la Journée internationale de tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines.

« Notre gouvernement s’est engagé à empêcher et à combattre la violence contre les femmes et les filles sous toutes ses formes. Les mutilations génitales féminines sont reconnues à l'échelle internationale comme une violation des droits de la personne, et elles peuvent entrainer des complications à long terme pour la santé des femmes et des filles.

« Nous devons travailler de concert avec les communautés, les éducateurs et les fournisseurs de soins de santé afin de mieux comprendre comment nous pouvons collaborer pour mettre fin aux mutilations génitales féminines et soutenir les survivantes.

« La reconnaissance de la Journée internationale de tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines nous permet de tenir des discussions honnêtes sur cette pratique débilitante qui se produit ici même au Canada. Nous devons tous et toutes nous opposer à la mutilation de nos belles filles parfaites ».

Madame Onyinye Chukwunyerenwa, porte-parole de la prévention des abus sexuels sur les enfants de Calgary, a ajouté son point de vue :

« Les mutilations génitales féminines sont des abus sexuels sur les enfants, et elles se poursuivent parce que nous restons silencieux. Il nous faut briser la culture du silence. »